Tahkout Mahieddine, ex-homme d’affaires et propriétaire de la plus grande entreprise de transport d’Algérie, a été interrogé sur une affaire de blanchiment d’argent liée à l’achat de bijoux en or d’une valeur de 4 milliards de dinars algériens en France pour sa « petite amie » nommée « Fairouz ».
Tahkout a nié ces accusations et a affirmé n’avoir pas vu cette femme depuis 17 ans.
Le parquet général près la Cour d’Alger a également requis la confirmation des peines prononcées contre Tahkout, Ali Haddad, Ahmed Mazouz, les frères Kouninef et Said Bouteflika pour des affaires de corruption.
Tahkout a également fait mention d’un différend familial avec son oncle décédé l’année dernière.
Tahkout nie les accusations de blanchiment d’argent
L’ex-homme d’affaires Mahieddine Tahkout, propriétaire de la plus grande entreprise de transport d’Algérie, est actuellement emprisonné.
Il a été interrogé sur une affaire de blanchiment d’argent liée à l’achat de bijoux en or d’une valeur de 4 milliards de dinars algériens en France pour sa « petite amie » nommée « Fairouz ».
Cependant, Tahkout a nié ces accusations et a affirmé n’avoir pas vu cette femme depuis 17 ans.
Le parquet général requiert la confirmation des peines
Le Parquet général près la Cour d’Alger a requis la confirmation des peines prononcées contre Mahieddine Tahkout à 15 ans de prison ferme, ainsi que contre Ali Haddad, Ahmed Mazouz et les frères Kouninef.
Le frère et conseiller de l’ex-président Abdelaziz Bouteflika, Said Bouteflika, a également été poursuivi pour des affaires de corruption et le parquet général a requis la confirmation de sa peine de 12 ans de prison ferme.
Des accusations de désaccord familial
L’accusé Tahkout a également révélé pour la première fois depuis son procès qu’il n’était pas d’accord avec des proches de sa famille.
Il a commenté au juge en disant: « Madame la présidente, je n’ai aucune entente avec ma famille, au sujet d’un différend avec mon oncle, que Dieu ait pitié de lui. »
Il faisait référence à son oncle décédé l’année dernière.