Le Séville FC est champion de la Ligue Europa. Ils ont désormais remporté ce titre à 7 reprises, un record. Lors de leur saison la plus difficile, ils ont su puiser dans leur esprit de champion une fois de plus.

Ils ont égalisé le but précoce de la Roma de Mourinho. Ils ont souffert mais persévéré. Gonzalo Montiel a marqué le penalty décisif après que la Roma en ait raté deux et que Bono ait réalisé des arrêts importants.

C’est un miracle opéré par l’entraîneur Mendilibar, qui a su tirer le meilleur de cette équipe championne du Séville FC. Ce titre lui doit beaucoup. Même sur la terre des empereurs, Séville est comme un empereur eux-mêmes. Personne ne peut prendre leur empire européen.

La Roma est sortie en pressant fort, rendant difficile pour Séville de combiner des passes ou de déplacer le ballon sur les ailes. Mourinho avait préparé un plan parfait. Dybala a marqué le premier but pour la Roma.

Mendilibar perpétue la tradition de Séville

Mendilibar a procédé à des remplacements, faisant entrer Lamela et Suso. Les Sévillans devaiet escalader cette grande montagne. Un centre de Navas a été dévié dans son propre but par Mancini pour l’égalisation.

Le match est allé en prolongation puis aux tirs au but. Bono a arrêté deux penalties tandis qu’Ocampos, Lamela, Rakitic et Montiel ont tous marqué pour L’équipe Andalouse. Une fois de plus, Séville émerge en tant que champion.

Montiel en réussite

Gonzalo Montiel a une nouvelle fois été le héros d’une finale en marquant le pénalty décisif qui a permis au Séville FC de remporter sa septième Ligue Europa. Quelques mois après avoir inscrit le pénalty victorieux en finale de la Coupe du monde avec l’Argentine, le latéral droit a transformé son tir au but malgré une première tentative manquée. Il a avoué être privilégié de pouvoir soulever tant de trophées : « J’étais sur la liste des tireurs et cela s’est passé ainsi. Grâce à Dieu, ça a marché. Nous sommes très heureux. Ce groupe le méritait après une saison difficile. Heureusement, nous nous en sommes sortis. » Bien que les deux titres aient « un goût différent », Montiel se réjouit d’avoir à nouveau « gagné la Coupe du monde puis l’UEFA » dans la même saison.